Après une première partie jolie mais plutôt encombrée (la rançon du succès pour Benoit et son équipe), on s'est retrouvés plus "tranquilles" sur la boucle du 40kms avec des passages techniques bien tassés et très intéressants. C'est à l'issue de cette boucle et au retour sur le parcours commun que le drame est arrivé : complètement barré dans une joute "poétique" (et néanmoins virile) avec les increvables Gilles et Vivien, j'ai shunté le dernier ravito ! Evidemment, à la vitesse où on est passés on ne pouvait entendre grésiller le cul noir bigourdan ni humer les effluves matinales de la ventrèche tant désirée... Et, comme pour les nouveaux radars, le panneau "Cochon à 100mètres" avait été enlevé ! Arrivé à Odos, les cuisses bien cramées après une traverse "Bénac-Hibarette-Odos" aussi rapide que la ligne droite des Hunaudières, et devant le petit jambon beurre, j'ai soudain saisi l’ampleur du désastre... Mais il était trop tard... Une bien belle matinée malgré tout en compagnie de Pierre, Gilles, Vivien, Jean Chris (qui ne doit pas être déçu de sa reprise...) et de Marc "Sans-Frein-c'est-plus-rigolo".
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